Poule 4

Seuls au monde

Crédit Photos : Marianne DAVAL

Après s’être inclinés lors de la précédente journée, les leaders renouent avec la victoire et profitent du match nul entre Villers et Rueil pour reprendre de la marge en tête du classement. Par ailleurs, Lure-Villers continue de grimper, Plobsheim se donne de l’air et les relégables font du surplace.

Sélestat 30 – 26 Semur en Auxois

Le leader assure l’essentiel ! En passant près de 45 minutes à se faire peur, Sélestat s’offre un succès précieux dans la course au titre dans un match piège face à un adversaire prêt à tout donner pour jouer sa survie. En effet, Semur a montré de belles choses en terre bas-rhinoise mais craque en fin de match, et reste en position de premier relégable.

Alors que Sélestat entre bien dans son match, c’est les visiteurs qui vont vite se montrer plus entreprenants, à l’image de Valentin PAQUE (8 buts), et prendre les rênes de la rencontre (6-10, 16e). Privés de leur buteur Simon JAEGER et d’autres éléments évoluant avec les pros, les violets se reprennent et parviennent à revenir à deux petits buts à la pause (12-14, mi-temps).

Au retour des vestiaires, Sélestat pousse et recolle rapidement au score, notamment grâce à Hugo PIMENTA (10 buts), très efficace. Le rempart semurois Corentin LEPEE (7 arrêts) est mis à rude épreuve face aux assauts violets qui s’accélèrent. Mais son équipe s’accroche et continue de tenir tête au leader (21-21, 42e). Cependant, si Sélestat est en tête du championnat, ce n’est pas un hasard. En effet, à ce moment clé du match où l’endurance fait souvent la différence, les jeunes violets parviennent à trouver l’énergie pour faire sauter le verrou bourguignon qui craque complètement en encaissant un 3-0 (24-21, 48e).

Dans son malheur, Semur perd Lilian GAUTHIER (1 but) sur blessure. A l’origine du contact, Escander BENFETOUM est quant à lui exclu de la rencontre. Sous le choc de leur partenaire évacué vers les urgences, les visiteurs encaissent encore deux buts à la suite qui sonnent comme le coup K.O (26-21, 53e). Sélestat gère alors tranquillement sa fin de match et s’offre une douzième victoire en championnat, soit déjà une de plus que sur l’ensemble de la saison dernière.

Bousculée, la réserve alsacienne prouve encore une fois qu’elle dispose d’un vivier doté d’un grand potentiel. Ce succès lui permet de rester devant Metz en tête du classement. Les violets continueront leur duel à distance avec les messins lors de la réception de Nancy dans deux semaines. Pour Semur, l’objectif est de sortir au plus vite de la zone rouge. Les joueurs de Fabien MARION en auront peut-être l’occasion s’ils s’imposent face à Cernay.

Molsheim 29 – 33 Metz

Metz se rattrape à Molsheim ! Battus d’un petit but à St-Brice il y a quelques semaines, et en petite forme depuis janvier, les messins renouent avec la victoire et restent solidement collés aux basques de Sélestat. De son côté, Molsheim continue de chuter au classement et s’installe petit à petit dans une sorte de ventre mou.

La première mi-temps est très serrée avec aucune des deux équipes qui n’arrive vraiment à faire la différence. Le gardien messin Nicolas BALMY (15 arrêts) s’illustre à plusieurs reprises pour garder son équipe dans le match, et répond à Benoît RAUEL (8 arrêts) qui tient en échec les tireurs lorrains (11-11, 24e). Mais à quelques minutes de la mi-temps, Molsheim subit un passage à vide et craque complètement. Metz ne se fait pas prier, et malgré un laps de temps en infériorité numérique, en profite pour creuser un large écart en seulement cinq minutes, avec un 6-0 qui porte l’écart à six longueurs à la pause (11-17, mi-temps).

Au retour des vestiaires, Molsheim se reprend et les hommes de Rachid BOUAZZA montrent un tout autre visage qu’en fin de première période. Ils parviennent à réduire rapidement l’écart, notamment grâce à Nicolas ZENS et Ibrahim HATMI (7 buts chacun), face à des messins qui se mettent à douter et à bafouiller leur handball (18-20, 37e). Mais les co-leader ont de la ressource et parviennent à ne pas sombrer complètement, pouvant toujours compter sur leur dernier rempart. Metz tient Molsheim à distance mais on sent que les choses peuvent aller très vite d’un côté comme de l’autre (21-24, 45e). Devant leur public, les alsaciens continuent de pousser et parviennent à revenir à un but à 10 minutes du terme, laissant penser que Metz peut retomber dans ses travers des dernières semaines.

Mais comme en première période, c’est bien les lorrains qui prennent le dessus et creusent à nouveau l’écart grâce à un 5-0 cinglant et fatal aux derniers espoirs locaux (24-29, 54e). Xavier BLOND (8 buts), passé seul en tête du classement des buteurs (102 buts en 14 matchs), profite de la fin de match pour conforter son avance.

A l’issue de la rencontre, le molsheimois Gaspard BOTTLAENDER (3 buts) s’est logiquement montré déçu car la défaite ne se joue pas à grand chose : « On a montré de belles choses, mais on pêche sur nos 10 minutes de première mi-temps où on prend un gros écart. On se bat bien en deuxième pour revenir mais après, à l’usure, on perd un peu le fil du match ».

De son côté l’entraîneur messin David MOTYKA s’est montré soulagé mais ne fait pas l’autruche en ce qui concerne les difficultés rencontrées par son équipe : « Je suis plutôt satisfait de notre première mi-temps, de l’engagement qu’on a mis. On a retrouvé des valeurs qu’on perdait ces derniers temps. On pensait avoir fait le plus dur en gagnant 17-11 à la mi-temps, et malheureusement on retombe un peu dans nos travers et on perd quelques ballons qui permettent à Molsheim de revenir dans le match. On se fait peur sur des actions un peu précipitées et des pertes de balles. Heureusement on ressert un peu les boulons sur la fin de match pour réussir à l’emporter. Mais c’est vrai qu’il faut qu’on arrive à corriger ce manque de régularité tout au long du match ».

Malgré son début d’année 2020 mouvementé, Metz est confortablement installé en tête du championnat aux côtés de Sélestat. Les lorrains auront l’occasion d’accentuer l’écart avec leurs poursuivants dans deux semaines avec la réception de Villers, qui complète le podium. En revanche, après trois défaites consécutives, Molsheim doit absolument se reprendre pour ne pas avoir à jouer le maintien sur la fin de saison. Les alsaciens devront réagir face aux voisins de Plobsheim.

Crédit photos : Marianne DAVAL

AS St Brice Courcelles 31 – 34 Plobsheim

Plobsheim se donne de l’air ! A un petit point de la zone rouge avant la rencontre, les alsaciens sont allés chercher un succès précieux qui les fait remonter à deux points du milieu de tableau dans lequel est englué St-Brice. Ces derniers, après avoir fait tomber l’ogre messin sur son parquet lors de la dernière journée, retombent dans leurs travers en se montrant toujours aussi irréguliers.

Après un court round d’observation, St-Brice emmené par un Kevin LEMAIRE (13 buts) chirurgical prend les commandes de la rencontre (9-5, 13e). L’ailier profite d’ailleurs de ce match pour monter sur le podium du classement des buteurs de la Poule avec 94 réalisations en 14 matchs. De son côté, Plobsheim bute sur Hamdi HABACHA (6 arrêts), à l’image de Théophile KEMPF (4 buts), en manque d’efficacité. Mais les oranges ne baissent pas les bras, à l’image de Xavier JARTY (9 arrêts) qui répond à son homologue brico, et reviennent à hauteur avant la pause (14-14, 25e). Mieux, les alsaciens profitent de l’apathie des locaux pour mener au moment de rejoindre les vestiaires (16-17, mi-temps).

Sur son élan positif, Plobsheim parvient à creuser l’écart en début de seconde période, notamment grâce à Jordan FRANCOISMARIE (7 buts), et à Paul THOMAS (10 arrêts, 1 but) qui brille à son tour dans les cages bas-rhinoises (20-25, 43e). Commence alors une course contre la montre pour St-Brice, qui tarde à réagir malgré la performance individuelle de son buteur. L’écart oscillant par la suite entre trois et six buts, les oranges ne sont jamais réellement inquiétés durant le second acte et s’offrent pour une fois une fin de match sans trop de frayeurs. Pour le plus grand soulagement de l’entraîneur JeanLuc KIEFFER, qui a su placer intelligemment ses temps morts pour garder le contrôle de la fin de rencontre.

De son côté, l’entraîneur des bricos Stéphane GARCIA regrette le manque d’envie et d’agressivité de ses hommes comme il a pu le confier à la presse locale. Cette défaite confirme les difficultés de St-Brice cette saison, et plus particulièrement à domicile. Sur sept rencontres, les bricos ne se sont imposés qu’à une seule reprise (contre Nancy), pour trois nuls et trois défaites. Pourtant, ils sont parvenus à s’imposer à Rueil et à Metz, ce qui n’est pas une mince affaire.

Grâce à ce succès, Plobsheim prend de la distance sur la zone rouge et repasse devant Nancy. Une bouffée d’air frais pour les alsaciens, qui devront confirmer ce bon résultat face aux voisins de Molsheim s’ils veulent continuer leur progression et sauver leur saison. De son côté, St-Brice continue de stagner et doit se préparer à un déplacement délicat du côté de Lure-Villers.

Villers 22 – 22 Rueil AC

Rueil manque l’immanquable ! Alors qu’ils avaient le match en main et se dirigeaient vers une belle victoire à l’extérieur, les promus parisiens ont totalement déjoué et on été rejoints par des villarois qui n’ont jamais abdiqué !

Le début de ce choc de la Poule 4 est très disputé, avec deux équipes qui se jaugent durant les premières minutes et n’hésitent pas à hausser l’impact physique. En attestent les trois buts coup sur coup sur jet de 7m de William GAULARD (6 buts) pour Rueil. Côté villarois, Maric WOJCIK lui répond et les deux équipes sont au coude à coude au quart d’heure de jeu (6-6, 15e). Le match repose ainsi sur la défense, avec très peu de buts inscrits, et des gardiens qui brillent, à l’image de Christophe JOURDAN (8 arrêts). Il permet notamment à Rueil de creuser l’écart en fin de première de période (8-10, mi-temps).

Au retour des vestiaires, Villers réagit et parvient à recoller au score assez rapidement (11-11, 34e puis 12-12, 36e). L’entraîneur rueillois Christophe GUISELIN pose alors un temps mort dans le but de remotiver ses hommes. Mission accomplie, les visiteurs repartent vers l’avant en infligeant un 5-0 dont trois buts de Brice FAUCHERAND (3 buts) qui montre la voie (12-17, 42e). Le rythme de la rencontre diminue alors à nouveau, Rueil gère bien son avance et pense pouvoir se diriger vers une victoire sereine, surtout en menant de 5 buts à cinq minutes de la fin (17-22, 55e). Mais le promu parisien est loin d’imaginer le cauchemar qui l’attend.

En effet, dans une salle en ébullition, les spectateurs ont pu assister à l’improbable mais incroyable remontée villaroise. C’est d’abord l’expérimenté Nicolas POTTEAU (7 arrêts) qui sonne la révolte en déjouant les attaques parisiennes. Puis au tour de Dimitri ROUX (3 buts) de marquer deux buts coup sur coup et réveiller les supporters en faisant renaître une lueur d’espoir. A deux minutes de la fin, les jaunes et noirs s’accrochent et veulent y croire jusqu’au bout. Malgré leurs 3 buts d’avance, les rueillois prennent des risques et se montrent maladroits en attaque, laissant Villers revenir à un petit but (21-22, 59e). Dans une atmosphère à la limite du respirable, Rueil a la balle de match en main et enclenche une combinaison pour tuer le match. Mais vigilante, la défense villaroise parvient à intercepter le ballon et à lancer Thibault BALAUD-RAVAILLE (2 buts) en contre qui ne tremble pas au moment d’inscrire le but de l’égalisation à 10 secondes du coup de sifflet final. Sur un dernier engagement rapide, Rueil a encore une dernière chance de repasser devant, mais dans la précipitation bute une nouvelle fois sur Nicolas POTTEAU (7 arrêts) qui clôt les débats.

Villers revient de très loin et arrache un match nul qui a presque un goût de victoire. Néanmoins l’entraîneur Olivier GUEUSQUIN ne veut pas s’enflammer : « C’est un sentiment partagé à l’issue de la rencontre. Frustré et déçu de ne pas avoir réussi à mettre notre jeu d’attaque en place mais aussi très satisfait de notre défense et du point que nous sommes allés chercher. Nous parvenons à arracher le match nul grâce à des vertus collectives que nous avons retrouvées depuis le match à Cernay ».

De son côté, Christophe GUISELIN était logiquement déçu et frustré que son équipe lâche le match de cette façon, mais il a tenu à souligner les points positifs de la rencontre : « Forcément je suis déçu par la fin du match où on laisse passer la victoire. Un très bon match pourtant où ils n’ont pas vu le jour grâce à une superbe défense. L’équipe a finalement paniqué et laissé espérer un adversaire qui avait presque abandonné ! C’est le sport, parfois ça nous a sourit mais pas là. Et pourtant quelle belle bataille ! On passe 5e au classement mais ça ne change pas grand chose. On est invaincu sur la phase retour alors soyons positifs. On va se concentrer sur Besançon puis on pourra enfin compter sur tout le groupe ensuite je l’espère, avant une série de matchs compliqués ». 

Ce match nul permet à Villers de conserver sa place sur le podium, mais les hommes d’Olivier GUEUSQUIN perdent un point sur les équipes de tête. Le prochain match face à Metz semble être celui de la dernière chance pour espérer revenir à leur hauteur. De son côté, Rueil aura une bonne opportunité de se relancer à la maison face à Besançon.

Crédit Photos : Toph de Villers

Grand Nancy 22 – 25 Lure Villers

Plus rien n’arrête Lure-Villers qui continue de grappiller des places au classement ! Les lurons enchaînent une troisième victoire consécutive et figurent actuellement à un petit point du podium. En revanche, la marche était un poil trop haute pour Nancy qui s’incline à nouveau à domicile.

Dans les starting-blocks à l’entame de match, Lure-Villers réalise un départ canon et dépose le promu nancéien sur place en lui infligeant un 5-0 d’entrée de jeu. Difficile de se réveiller après ça. Youcef BELKHAROUBI est contraint de poser un temps mort au bout de seulement cinq minutes de jeu pour remobiliser ses joueurs. Si cela est suffisant pour ouvrir leur compteur, cela reste trop léger pour suivre le rythme effréné des lurons qui creusent l’écart (5-12, 20e). Solides défensivement et en pleine confiance, les joueurs de Frédéric CARISEY conservent une belle avance à la pause (10-16, mi-temps).

La réaction est attendue du côté de Nancy mais elle tarde à se montrer. Les jeunes réservistes sont en panne d’inspiration en attaque et peinent à être efficaces, à l’image de Simon VAUCHELET (2 buts) et Léo PLANTIN (1 but), loin de leurs standards habituels. Lure-Villers compte toujours une bonne avance à un quart d’heure du terme (14-20, 45e). Mais c’est pourtant le tournant du match, où Nancy parvient enfin à réagir en collant un 4-0 à des lurons qui sont obligés de vite se remobiliser pour ne pas perdre un match qu’ils avaient pourtant bien en main. Les visiteurs voient leur avance se réduire dangereusement et butent sur Hakim JARRAR (12 arrêts) qui entretient les espoirs nancéiens (19-21, 51e). Néanmoins Lure-Villers peut une fois de plus compter sur son gardien Jonathan GAULARD (14 arrêts), qui effectue les parades décisives aux bons moments. Si bien que Nancy n’inscrit qu’un seul but durant les sept dernières minutes. Dans le même temps, Benjamin GUERS (6 buts) s’occupe de redonner de l’air aux siens jusqu’au coup de sifflet final.

Le capitaine luron, Mickaël ROMAIN (2 buts), s’est montré satisfait à l’issue de la rencontre, mais également conscient des difficultés éprouvées en fin de match : « Le début de match a été parfaitement maîtrisé et on a gardé cette avance jusqu’à tard dans le match. On les a laissé revenir dans le match, la faute à un relâchement coupable de notre part. De plus nous étions en effectif réduit, et amoindri à cause de joueurs un peu malades ou avec quelques bobos… Nous ne nous sommes pas affolés et nous avons gardé un petit écart jusqu’à la fin du match. Mais il est clair que le match aurait pu basculer et nous être fatal… il ne faudra pas le reproduire ». 

Youcef BELKHAROUBI, l’entraîneur nancéien, a quant à lui exprimé sa déception quant au début de match de son équipe : « Effectivement nous payons notre entame de match catastrophique. Nous courrons derrière le score durant toute la rencontre. On se procure des occasions pour revenir mais nous avons fais preuve de suffisance au niveau des tirs ». 

Surfant sur une excellente dynamique en 2020, Lure-Villers peut désormais convoiter le podium comme le dit lui-même Mickaël ROMAIN (2 buts) : « On est sur une bonne lancée en effet, à nous de maintenir le cap pour accrocher le podium maintenant ». Pour cela il faudra l’emporter face à St-Brice lors de la prochaine journée. Côté nancéien, cette défaite vient freiner la progression observée depuis quelques journées. Si le promu garde encore la tête hors de la zone rouge, il aura fort à faire lors du déplacement à Sélestat.

Grand Besançon 25 – 33 Cernay/Wattwiller

Cernay à la relance ! Invaincus à l’extérieur depuis décembre, les alsaciens sortent du piège bisontin en ayant été très peu inquiétés, et se repositionnent en milieu de tableau. La lanterne rouge quant à elle ne confirme pas sa belle victoire acquise lors de la précédente journée.

Après sa défaite à la maison contre Villers, Cernay arrive dans le Doubs avec une certaine pression face à Besançon qui restait sur son premier succès de la saison. Mais les alsaciens ont parfaitement su gérer cette pression pour mener rapidement les débats (4-8, 12e).  Les locaux parviennent à s’accrocher en revenant à deux buts au quart d’heure de jeu, mais rien n’y fait, la machine cernéenne semble mieux huilée. Lucas ECANVIL-HUG (10 buts) et Christopher GOUDOU (8 buts) sont sur un nuage et permettent aux visiteurs de rentrer aux vestiaires avec une belle avance (12-18, mi-temps).

Alors que les locaux pouvaient profiter d’un éventuel relâchement des cernéens en seconde période, comme cela peut souvent leur arriver, ils voient leurs efforts gâchés par un excellent Gabor KOLONICS (10 arrêts). Le club alsacien maintient son avance et ses buteurs du jour continuent de faire trembler les filets adverses. Disciplinés, les hommes de Milorad DAVIDOVIC creusent encore plus leur avance, celle-ci grimpant jusqu’à 11 buts d’écart (20-31, 52e). Cernay gère alors sa fin de match en toute tranquillité et s’offre le scalp de la lanterne rouge pour la deuxième fois de la saison.  

Remonté à hauteur de Molsheim et St-Brice au classement, Cernay tentera de rééditer ses bonnes performances à l’extérieur sur le terrain de Semur et continuer ainsi de prendre des points cruciaux en vue du maintien. En revanche pour Besançon, le déplacement à Rueil s’annonce très compliqué.

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